Juliette Vincent

Et si la clé pour sortir de ta souffrance était à l'intérieur de toi ?

As-tu envie de faire de ta vie une vie qui mérite d’être vécue ? 

Es-tu heureux.se ?

C’est la 1er question essentielle à te poser, et si la réponse est hésitante ou appelle à un non, tu es au bon endroit.

Voici d’autres questions pour aller plus loin dans ta réflexion :
Quand est-ce que tu t’es senti.e heureux.se pour la dernière fois ?
De quoi as-tu besoin pour l’être ? (si tu le sais..)
Qu’est-ce qui t’empêche de l’être ?

Pourquoi me consulter ?

Pour te transformer
durablement et profondément

Je ne parle pas d’outils mais de manière d’Être, c’est à ce niveau que tout se joue

Globalement si tu vis des émotions, tu te sens perdu.e, tu en as marre de subir ta vie et que tu aspires à vivre autre chose, de + doux, + humain, + sensé, + vivant, + authentique, + vrai, si tu vis toutes ces choses à la fois où même juste une, tu es au bon endroit.

➡️ Ta souffrance d’aujourd’hui est liée à tes blessures émotionnelles, à tes blessures d’enfance.

Fond de photo
Portillon qui ouvre vers un arc en ciel

Mon savoir-Être à la disposition de ta Transformation

“soigne toi en profondeur”

Accompagnement à mes côtés

Déconstruire en profondeur et de manière durable, pas à pas, ce qui te limite à être bien et en paix aujourd’hui.

→ Un programme en ligne transformationnel est en cours de création.

Mon approche

Avant de rentrer dans le détail de chacun de mes services, laisse moi te donner un rapide apperçu de mon approche pour que tu saches où est-ce que tu mets les pieds.

L’ensemble des problématiques que tu rencontres est lié à tes blessures.

Petite fille triste avec sa peluche
Petit garçon triste recroquevillé sur lui-même

Allons à la base des bases

Lorsqu’un enfant arrive sur Terre, il est pur* (*en mettant de côté sa dette karmique qu’il porte dans son âme ainsi que le transgénérationnel d’un point de vue mémoires cellulaires). L’enfant est un être sensible, vulnérable, créatif, rieur, joueur, imaginatif, espiègle, positif, vrai, dans l’instant présent, à l’écoute de soi, le partage, l’amour et plus encore.

C’est un être humain qui a des droits et des besoins qui lui sont propres – besoins au niveau de son Être : être aimé, accepté, respecté, libre, écouté, en confiance, en sécurité, vrai….les mêmes que pour tout être humain. Mais l’enfant ne peut répondre à ses besoins par lui-même, sa constitution physiologique ne le lui permet pas, en effet son cortex préfrontal (la partie logique du cerveau) se développe qu’à partir de ses 7 ans versus son cortex limbique (le cerveau des émotions) qui lui est le plus développé – cette constitution le rend plus sensible et vulnérable qu’un adulte. C’est durant cette période, de sa conception à ses 7 ans, que ses blessures se créent.

Un père qui engueule son fils
Des parents qui s'engueulent devant un enfant

Et après ?

Le langage de l’adulte peut être très violent pour un enfant “arrête de faire semblant, tu me déranges/tu déranges les autres, tu es dégoûtant !, arrête de pleurer tu me fais honte, sois sage, tais toi, rends toi utile…” ce qui inévitablement ne passe pas sans conséquences.

Un enfant apprend à être en observant les figures d’autorité en charge de son développement, et un adulte qui n’est pas connecté à lui-même, (pas de développement personnel entamé, en guerre avec son passé/ses parents et lui-même, pas de gestion émotionnelle de ses peurs, de ses croyances, qui se juge/s’accuse…) apprendra indirectement cette manière d’être à un enfant. 

Les actes sont plus puissants que les mots. Un enfant ressent et se connecte à son parent (ou personne jouant ce rôle), il observe et se met à imiter ce que son parent ne voit pas (car inconscient de lui-même) – il peut aussi reproduire l’inverse.

Jeune femme qui pleure dans une cage

Le mal s'ancre en grandissant

En grandissant un enfant est blessé à moult reprises : ses besoins sont partiellement comblés comme c’est le cas des figures d’autorité autour de lui, d’avantage focus à avoir (de l’argent, une bonne image, de la reconnaissance) et à faire (partir en vacances, faire les choses “bien”, faire comme tout le monde…) qu’à être (respectueux, aimant, libre…).

C’est le manque de vulnérabilité et de sensibilité chez les adultes (ie la déconnexion à soi-même) qui les empêchent de se mettre à hauteur de l’enfant, de l’accompagner dans son développement et non de le conformer – dénigrant eux-même ces parties d’eux, les jugeant de faibles, insignifiantes ou dangereuses.

Durant son développement, un choix va s’imposer à lui : rester lui-même même si ça ne correspond pas ce que ses parents veulent de lui, l’image qu’ils se font de lui, à la société à laquelle il appartient (pour ne citer que ces conditionnements) OU se conformer pour survivre ? C’est le dernier choix qui va s’imposer à lui.

L’enfant va grandir en se déconnectant de qui il est au naturel, se construisant avec son mental ie son ego en mettant des masques pour tenter de répondre partiellement à ses besoins. Il va devenir co-dépendant des autres, attendant que l’extérieur comble ses vides intérieurs, n’ayant pas appris comment le faire par lui-même. Il s’interdira d’être naturel car en grandissant il en a souffert – la suite tu la connais.

Femme qui se fait un câlin à elle-même

Quand est-ce que la thérapie commence ?

Lorsque tu as envie de faire de ta relation à toi ta plus belle histoire d’amour, lorsque tu as atteint ta limite de souffrance et que tu es prêt.e à changer ta manière d’Être.

Elle commence lorsque tu t’es trop éloigné de ton être fondamental, de l’enfant qui est en toi, de ta vraie nature qui est Amour.

Elle commence lorsque les masques que tu portent et les rôles que tu t’efforces à jouer depuis petit.e commencent à te déservir.

Elle commence lorsque tu perds le contrôle, lorsque tu ne sais plus comment faire pour aller mieux, lorsque tu n’arrives plus à gérer ton impuissance face à ce qui est.

Un accompagnement sur-mesure pour passer de chenille à papillon